La presse parle de L’Odyssée du microscopique :
« L’Odyssée du microscopique, première et très réussie BD signée Olivier F. Delasalle et Léandre Ackermann ».
Le quotidien Luxembourgeois
« Une philosophie du dégagement bien d’époque, mais traitée sur un mode modeste et rafraîchissant. Comme une quête incertaine mais joyeuse et légère du bonheur ».
Le courrier Picard
« […] une « feel-good story » subtile et attachante, réconfortante sans être inutilement euphorisante ».
Sud Ouest
« Coup de coeur. Un roman graphique qui donne la pêche, qui donne envie de sourire. […] et qui aborde de façon extrêmement sensible des choses toutes simples ».
Akadem
« C’est frais, inattendu, optimiste et spirituel, et très efficacement servi par un dessin subtil aux jeux d’ombres et de lumière étonnement photographiques ».
Tenoua
« Expression de la quête du bonheur, démarche sincère mêlée d’humour[…] nous donnant tout autant envie de replonger dans les Gaston Lagaffe et d’apprécier avec tous les anti-héros de ce monde ces moments de joie non virtuels ».
L’Arche
« […] Le charme opère dans les détails. […] C’est lorsqu’on remarque les correspondances qui se répondent aléatoirement d’une case à l’autre de l’album, que l’on est gagné par une forme de ravissement. Very good strip. »
Jew Pop
« Enfin un bouquin optimiste qui se moque drôlement des psys et ne voit pas le monde comme un bloc monolithique d’une noirceur épouvantable ».
Casemate
« Les dialogues sont pleins d’intelligence, nous invitant entre les lignes à nous aussi réfléchir à notre vie, à nos aspirations. Un rappel tout en douceur que le bonheur est en nous, et qu’il faut apprendre à réellement savourer sa vie. Une lecture qui fait du bien ».
9ème art
« Avec ses deux héros foutraques et hauts en couleur, Olivier Delasalle présente un véritable apprentissage de la sérénité. […] Hommage à la sagesse de l’excentricité, hymne au ralentissement du temps, un premier album tout bonnement excellent ».
BD Gest
« Cadrages, mises en scènes et décors sont parfaitement réalisés. […] On ne peut ressortir insensible de ce récit, avec une propension certaine à se remettre en question soi-même sur la façon d’appréhender son quotidien ».
Planète BD
« Cet optimisme, pas du tout béat, est un fil conducteur qui fait du bien à la lecture de l’album. Ce beau roman graphique engendre aussi des questionnements sur sa propre vie et ça fait un bien fou ».
Case départ